L’arthroscopie du genou est une intervention chirurgicale qui se fait sans ouverture de l’articulation et permet ainsi de traiter les lésions avec un minimum de séquelles.
L’arthroscopie du genou : en quoi consiste cette opération ?
Les techniques chirurgicales ont énormément évolué au cours des dernières décennies. Désormais, pour réaliser une opération sur une articulation, le chirurgien n’a pas besoin d’ouvrir l’articulation.
Le patient est opéré sous anesthésie locale ou générale. Il lui suffit, pour procéder à une arthroscopie du genou, de pratiquer deux petites incisions d’environ 1 centimètre de long de chaque côté du genou. Elles permettent de faire passer d’une part un endoscope, c’est-à-dire une sorte de tuyau au bout duquel est fixée une minuscule caméra, et d’autre part les instruments chirurgicaux nécessaires à l’intervention.
Une fois l’intervention réalisée, les incisions sont recousues avec des points de suture, puis recouvertes d’un pansement. Selon l’intervention, vous pouvez rentrer chez vous le soir même ou le lendemain.
Quand l’arthroscopie du genou est-elle préconisée ?
L’arthroscopie du genou est indiquée principalement dans deux cas :
En cas de rupture des ligaments croisés : cela arrive surtout aux sportifs, à la suite d’une torsion de l’articulation du genou. Il peut s’agir des ligaments croisés antérieurs ou postérieurs.
Des perturbations métaboliques, comme le surpoids ou le diabète. La chirurgie préconise l’arthroscopie du genou après avoir procédé à une IRM (imagerie à résonance magnétique).
La régularisation d’un ménisque : le ménisque peut se fissurer ou se rompre à la suite de la pratique d’une activité sportive, mais sa destruction peut aussi survenir chez les parents arthrosiques, c’est-à-dire qui souffrent d’arthrose. Cette pathologie se manifeste par la destruction des cartilages au niveau des articulations, ce qui provoque des douleurs aiguës, mais aussi une perte de la mobilité de l’articulation.
Que cela soit à cause du vieillissement ou de traumatismes répétés au niveau du genou, l’arthroscopie est la solution lorsque les traitements médicamenteux ou par infiltration ne sont plus assez efficaces, ou pour limiter la dégradation de l’articulation.
Comment se préparer à une arthroscopie du genou ?
En général, l’arthroscopie, à l’instar de l’infiltration du genou, se déroule en ambulatoire, c’est-à-dire que le patient entre le matin tôt dans l’établissement hospitalier et peut en ressortir le soir même s’il n’y a pas de complication.
Le patient peut manger jusqu’à la veille à minuit. Une fois à l’hôpital, le patient doit se laver entièrement avec un savon antiseptique. La zone opérée doit être épilée. Une fois au bloc, l’anesthésiste procède à l’endormissement de la zone opérée ou l’anesthésie générale.L’arthroscopie du genou est une intervention chirurgicale qui se fait sans ouverture de l’articulation et permet ainsi de traiter les lésions avec un minimum de séquelles.
L’arthroscopie du genou : en quoi consiste cette opération ?
Les techniques chirurgicales ont énormément évolué au cours des dernières décennies. Désormais, pour réaliser une opération sur une articulation, le chirurgien n’a pas besoin d’ouvrir l’articulation. Le patient est opéré sous anesthésie locale ou générale. Il lui suffit, pour procéder à une arthroscopie du genou, de pratiquer deux petites incisions d’environ 1 centimètre de long de chaque côté du genou. Elles permettent de faire passer d’une part un endoscope, c’est-à-dire une sorte de tuyau au bout duquel est fixée une minuscule caméra, et d’autre part les instruments chirurgicaux nécessaires à l’intervention. Une fois l’intervention réalisée, les incisions sont recousues avec des points de suture, puis recouvertes d’un pansement. Selon l’intervention, vous pouvez rentrer chez vous le soir même ou le lendemain.
Quand l’arthroscopie du genou est-elle préconisée ?
L’arthroscopie du genou est indiquée principalement dans deux cas :
- En cas de rupture des ligaments croisés : cela arrive surtout aux sportifs, à la suite d’une torsion de l’articulation du genou. Il peut s’agir des ligaments croisés antérieurs ou postérieurs.
- Des perturbations métaboliques, comme le surpoids ou le diabète. La chirurgie préconise l’arthroscopie du genou après avoir procédé à une IRM (imagerie à résonance magnétique).
- La régularisation d’un ménisque : le ménisque peut se fissurer ou se rompre à la suite de la pratique d’une activité sportive, mais sa destruction peut aussi survenir chez les parents arthrosiques, c’est-à-dire qui souffrent d’arthrose. Cette pathologie se manifeste par la destruction des cartilages au niveau des articulations, ce qui provoque des douleurs aiguës, mais aussi une perte de la mobilité de l’articulation. Que cela soit à cause du vieillissement ou de traumatismes répétés au niveau du genou, l’arthroscopie est la solution lorsque les traitements médicamenteux ou par infiltration ne sont plus assez efficaces, ou pour limiter la dégradation de l’articulation.
Comment se préparer à une arthroscopie du genou ?
En général, l’arthroscopie du genou se déroule en ambulatoire, c’est-à-dire que le patient entre le matin tôt dans l’établissement hospitalier et peut en ressortir le soir même s’il n’y a pas de complication. Le patient peut manger jusqu’à la veille à minuit. Une fois à l’hôpital, le patient doit se laver entièrement avec un savon antiseptique. La zone opérée doit être épilée. Une fois au bloc, l’anesthésiste procède à l’endormissement de la zone opérée ou l’anesthésie générale.